L’important, c’est de bouger, chaque chemin mène quelque part. C’était encore la voix de Bogdan. Il n’y a pas de fin, jeune homme, la fin, c’est quand tu t’arrêtes, quand tu relèves les pontons, quand tu t’enfermes dans la tour de ta propre tour, car tant que tu marches il y a toujours une fenêtre, au moins une petite fenêtre à travers laquelle on peut faire un clin d’œil au soi-même d’avant.