Citations de Edel Gött (61)
«Il est plus facile de fissurer l'atome que de vaincre un préjugé. »
Einstein
Le discernement est le joyau de la conscience qui permet de voir clair.
Ne vous accrochez plus aux situations du passé, à ce qui vous a frustré ou dénigré. Laissez-vous porter par votre intuition, par votre inspiration, et dès que la moindre bonne idée se présente, attrapez-la et, sans hésiter, commencez à la concrétiser.
Si vous vous sentez découragés et que vous avez peur de l'avenir, prenez du recul. Prenez un temps rien que pour vous et regardez de loin, de très loin, tous vos soucis. Imaginez-vous très haut dans un avion, à regarder la Terre, ou imaginez-vous plus loin encore, sur une étoile. De là, cherchez notre système solaire, ensuite la Terre, puis le pays, la ville, l'endroit et l'heure précise. Fixez le moment présent qui se situe dans l'histoire, dans un temps plus large. Vous verrez comme par enchantement, à la vue de la grandeur de la vie, que les soucis, la situation du moment que vous vivez et l'endroit où vous êtes deviennent tout petits.
L'intérêt d'aujourd'hui n'est pas l'intérêt de demain.
Au lieu d'apprendre aux enfants et aux jeunes à réellement vivre, les enseignants sont amenés à leur apprendre à vivre dans le passé, à survivre, à s'imposer, à gagner sur l'autre ou à perdre.
Le public se trompe de moins en moins. Il commence à savoir que pour toutes ces situations, il y a un maître mot : Méga-Poubelle. L'éthique ? Dans la poubelle ! Le long-terme ? Dans la poubelle ! La vision globale ? Dans la poubelle ! L'épanouissement et le bien-être des hommes, des femmes et des enfants ? Dans la poubelle !
Jamais la jeunesse n'a été aussi angoissée, résignée, blasée ou violente, alors qu'elle constitue la génération qui a à sa portée le plus grand nombre de moyens technologiques pour explorer et vivre la vie.
Jamais l'être humain n'a été aussi seul, alors que la communication s'écrit en lettres majuscules.
Si nous avons été amenés à ne pas ressentir nos émotions, nous ne percevons plus les émotions et les souffrances des autres.
L'engagement rend heureux.
Le tiers des ressources naturelles de la planète a disparu dans les 30 dernières années.
En 2050, deux milliards de personnes seront touchées par les inondations.
Pour assurer l'accès à l'eau potable de la totalité de la population mondiale, il faudrait investir 200 milliards de dollars, ou la moitié du budget de la guerre en Irak.
La Terre compte deux millions de morts par an à cause du manque d'eau ; 4000 enfants par jour meurent de soif ou d'infections transmises par l'eau insalubre. Imaginez 4000 enfants mourant en l'espace de 24 heures et la somme de désespoir que cela représente.
850 millions de personnes sous-alimentées dont 130 millions d'enfants, alors que nous pouvons couvrir 110 % des besoins !
Il suffit de se mettre dans la peau d'un seul Être humain plongé dans la souffrance et le désarroi, et de ressentir cela pour arrêter de mettre des oeillères.
Il ne s'agit pas simplement d'être contre quelqu'un ou quelque chose quand nous ne sommes pas d'accord, mais qu'il faut aussi apporter des contributions positives et constructives si nous souhaitons être cohérents et en accord avec nous-mêmes.
Nous sommes grandement gagnants si nous acceptons de nous ouvrir aussi à ce qui semble éloigné de nos préoccupations immédiates. C'est en réunissant le monde en nous que nous pourrons réunir le monde à l'extérieur.
Nombreux sont ceux qui se disent cartésiens, en se croyant parfaitement logiques dans leurs raisonnements, alors qu'ils sont symboliquement hémiplégiques, puisqu'ils n'utilisent qu'un côté du cerveau.