Elle savait, naturellement, que beaucoup de gens jouaient au-delà de leurs moyens, mais elle ignorait que le jeu tînt une part si importante dans la vie nationale de l’Angleterre. Le champ de courses était une sorte de marché frénétique où les prix montaient ou baissaient, suivant que « l’action » qui venait d’être achetée tombait à rien ou payait de magnifiques dividendes. (p34/35)