Cyrano :
Aïe ! au coeur, quel pincement bizarre !
- Baiser, festin d'amour dont je suis le Lazare !
Il me vient dans cette ombre une miette de toi, -
Mais oui, je sens un peu mon coeur qui te reçoit,
Puisque sur cette lèvre où Roxane se leurre
Elle baise les mots que j'ai dits tout à l'heure !