« On a calomnié les chats. Ils ont une tendresse, et une tendresse intelligente. Quand je suis bien portant, la
chatte saute sur le pied de mon lit et s’y tient coite ; quand je suis malade, elle se couche contre ma poitrine,
et comme elle a horreur de la barbe, elle me lèche de temps en temps le bout du nez comme un baiser. »