Mais, mieux encore que ces kakémonos, que ces makimonos, que ces panneaux, des documents plus révélateurs, pour étudier Hokusaï, pour se rendre compte de ses procédés, pour pénétrer le secret de son art, se trouvent dans trois ou quatre albums, appartenant à Hayashi et renfermant les projets, les croquis, les esquisses de ses dessins terminés - de tout cela, que le XVIIIème français appelait les premières pensées d'un peintre.