La littérature n'est qu'un bon tour, comme le tour d'un prestidigitateur ou d'un sorcier, qui donne corps à la réalité. A moins que la littérature ne nécessite de détruire une réalité pour en construite une autre, chose que, de façon très intuitive mon grand-père avait comprise, de se détruire pour se reconstruire à partir de ses propres décombres.