Elles sont les peintures de ma vie
Les lourdes larmes de l’ennui
Et je pleure comme tu t’es servi
De mon cœur comme simple oubli
Et par le lavis toutes ces nuits
Je couche mon amour et ma folie
Les couleurs courent t’oublier comme si
Tu n’étais pas si ancré à ma vie
Les pâles ombres se défilent
Et sans fond dans mon infini
Les mornes assombries me défient
Il ne reste qu’un aveu, tu vois…
Fini