Ces femmes de pouvoir, ordinairement maîtresses d’elles-mêmes jusqu’au bout des ongles, agitent leur rose avec frénésie, crient, bondissent, frétillent sur leur siège. Elles se disputent chaque Divin comme s’il n’était plus seulement question de se faire « masser », mais de préempter la dernière poignée d’hommes disponibles sur Terre.