Le bien-être (...) était une notion subjective et diffuse. Le sentiment d'être bien dans sa vie, de se lever le matin l'esprit vivant et combatif pour accomplir quelque chose qui nous ressemble, la sensation d'être en paix, d'être à la bonne place avec les bonnes personnes, de s'être trouvé, d'être heureux.. comment le matérialiser par des tests, des évaluations ? (p. 69)