Alors que je m'apprêtais à repartir chez mon père après avoir glissé mes plumes, ma bouteille d'encre et quelques feuilles de manga genkô yôshi dans mon sac, j'ai entendu ma mère arpenter sa chambre. J'ai entrouvert la porte. Elle classait des papiers en chantonnant. Je me suis abstenue de la saluer. Sa bonne humeur chronique commençait vraiment à me faire flipper.