[… à la ville], elle le sait, l'attendent la pollution, la fumée, le bruit, la fatigue. Mais, ce qui la chagrine le plus, c'est qu'elle ne reverra plus les siens avant longtemps. Sans le savoir, elle vient de rentrer de plain-pied dans le monde cruel des adultes.
(p. 27, Maxence Fermine, « Mademoiselle Loan »)