Phnom Penh et ses murs de pierres chauffées au soleil, ses fumés lourdes, ses ruelles salles, ses mendiants, ses voleurs et ses prostituées. C'est dans ce monde sans douceur que mademoiselle Loan arrive ce matin d'automne, comme on débarque d'un navire pour une terre hostile et effrayante, où tout vous apparaît étrange et différent.
(p. 27, Maxence Fermine, « Mademoiselle Loan »)