Si chaque jour était différent et leur permettait de découvrir davantage les joies d’une vie nomade, leur routine du soir était l’unique lien qui les rattachait encore à leur ancienne vie. Voyager en van était comme entrer dans une sorte de faille spatio-temporelle qui nécessitait une adaptation constante à l’environnement global du pays visité, aux imprévus et aux intempéries.