Pour Eugénie Modigliani [mère de l'artiste ], les livres fécondent la richesse intérieure; pour Laure, sa jeune soeur, ils servent la révolution.
Laure Garsin: une fausse fragile, dévorée d'impossible, une Camille Claudel sans oeuvre, une Louise Michel privée de barricades. La tante idéale quand on soutient que la sagesse consiste à avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre de vue. (p. 72)