Mon cher village comment peux-tu te laisser aller à ce point ? Comment peux-tu te renier ainsi ? Je ne te reconnais plus. Toi dont l’eau des rivières est si pure, toi qui te pares à chaque fois sans compter des atours des saisons en t’offrant riche de couleurs, de parfums, de mélodies de toutes sortes, au plus petit, au plus misérable d’entre nous, qu’es-tu devenu ?