[…] cela m’a pris du temps, à cause des deux facteurs temps irlandais : le temps qu’il fait, imprévisible, et le temps sidéral, les aiguilles des pendules dont la lenteur vous hypnotise, quand la cocaïne des tourbières, cet alcaloïde qu’exhalterait des vastes étendues, vous fait planer et annihile les résolutions.
Hervé Jaouen