C'était peu après la mort de Louise. Clémence était perturbée et hésitait entre l'édition et le travail du bois. Elle disait avoir besoin de se colleter à la matière, à du concret pour ne pas sombrer. mais abandonner l'écriture, elle ne le pouvait pas non plus. Les lettres, les mots, les phrases font naître la musique de l'humain.