La ferme n'a jamais cessé de chanter pour nous, ses familles perdues, ses soldats, ses épouses. Pendant la guerre, quand ils vinrent avec leurs baïonnettes, forçant la porte, montant l'escalier dans leurs bottes sales. (...) Puis il en vint d'autres - ils furent nombreux - qui prirent, arrachèrent et pillèrent (...) Ne laissant que les murs, les sols nus. Le cœur battant dans la cave. (p12)