Pense à cela, Guillaume, voilà Suzanne, pure et sainte comme les anges du ciel, qui reste comme eux pleine d’espoir et de miséricorde, et qui se réjouira comme eux du repentir de mon enfant. Guillaume, mon garçon, je n’ai plus peur de toi, maintenant ; il faut que je parle et que tu écoutes. Je suis ta mère et j’ai le droit de te commander, parce que je sais que j’ai raison et que Dieu est avec moi.