Et je me promettais qu'une fois sortie de l'hôpital, je ne marcherais plus jamais dans la rue sans être remplie de reconnaissance à l'idée de faire partie de ces gens. De fait, pendant des années, en repensant à la vue depuis la fenêtre de ma chambre d'hôpital, je me sentirais reconnaissante de fouler ces trottoirs. (p. 10)