Lorsqu'elle remonta ses manches pour laver les assiettes, elle se figea sous le choc. Pendant un moment, elle avait oublié les camps et la guerre.
L 'espace d 'une heure, elle avait oublié sa peine.
Mais la réalité, c'était que son matricule serait là jusqu'à la fin de son existence. Chaque jour, elle le verrait. Chaque jour, elle se souviendrait.