Ton problème, Louise, c'est qu'à force d'avoir peur de souffrir, tu t'empêches aussi d'être heureuse. L'enfant que tu étais savourait... tu peux encore le faire. Débarrasse-toi du superficiel... la vie est précieuse. Il suffit que tu changes un peu l'angle sous lequel tu la regardes pour t'en apercevoir. Se priver d'émotions, c'est vivre à moitié.