Qu’importe, le jeudis soir est le seul jour où je peux souffler un peu et par souffler, j’entends pousser de longs soupirs amoureux devant un des docteurs sexy de Grey’s Anatoly ou bien, à la rigueur, souffler dans un éthylotest après une soirée karaoké bien arrosée au Saxo, mais certainement pas souffler comme un boeuf dans une salle de sport. D’ailleurs, ça ne s’appelle plus souffler mais cracher ses poumons !