"Autant, quelques heures plus tôt, la mort de Johnny me semblait dérisoire autant maintenant, elle donnait un écho désagréable à ce que j'étais en train de vivre. J4ai eu la sensation qu'on me volait la vedette. Pire, qu'en ce jour sacré, il était ridicule, voire interdit de pleurer quelques d'autre que Jean-Philippe Smet. Tout ce qui n'avait pas de lien avec Johnny, n'avais pas sa place."