Je n’étais pas réellement fatiguée et ce dont j’avais besoin, c’était qu’on me donne un bon coup de pied au derrière pour me faire avancer… Bref, je n’avais pas le choix. Je ne pouvais pas m’écrouler. Je devais continuer, pour mes enfants. C’était uniquement pour eux que je parvenais encore à me lever tous les matins. Et c’était aussi pour eux que j’arrivais à faire illusion. Mais jusqu’à quand…