Le problème dans ce boulot n'est pas ce que les autres en pensent, c'est ce qui se passe en nous. Il n'est pas impossible du reste que l'un soit conditionné par l'autre. Qu'on soit convaincues de faire le bien ne rend pas plus doux le mot de pute, ni celui de prostituée qui implique une totale passivité dans un métier où pourtant on ne cesse de remuer.