L’alarme qui me réveille est un signal silencieux, directement envoyé depuis mon implant à mon cerveau. C’est un mécanisme horrible, qui inonde le corps d’adrénaline et de la certitude qu’une réaction immédiate est nécessaire. C’est le plus haut niveau d’alerte neurale, du moins dans les limites de sécurité, et la mienne est paramétrée pour ne s’activer qu’à une condition – lorsque quelqu’un s’approche trop de chez moi.