Ce que retient surtout Raoul Diagne de son Mondial 1938, c'est "davantage les virés avec mes potes de l'équipe, là où on pouvait rencontrer plein de filles plutôt déshabillées, qu'une action rondement menée". Les joueurs passent leurs nuits à Pigalle, et le sélectionneur est bien trop clément.