Le soir, une fois le soleil couché, quand les inhibitions de la vie sociale s’estompaient derrière les premières ombres, derrière le flou du mi-sommeil qui sépare la conscience et les songes, elle se voyait ôtant ses vêtements er dévoilant son corps aux yeux déroutants d’Adrian. Mais sa rêverie n’allait jamais plus loin : trop d’années avaient passé depuis son serment de rester de rester vierge pour qu’elle imagine sa nudité entre les mains d’un homme.