Une fois qu’on a tué, l’ame est foutue ; comme une poele a frire gondolee, qui ne tient plus bien d’aplomb sur la gaziniere.
Plus jamais on ne respire de la meme facon parce qu’on sait que, chaque souffle, on l’a volé aux cadavres qu’on a laissé derriere soi pourrir sans sepulture.