Si j’avais une certitude, c’était que je n’irais jamais voir un match de sumo, le sommet de ce que je haïssais au Japon, le pic du ringard, le Fuji-Yama de l’horreur.
- Des tas de lard de deux cents kilos en chignon, quasi nus, un string de soie dans le cul, qui s’agitent sur une piste en cercle, merci ! Suffit pas de me glisser une invitation, faudrait me payer pour que j’aille voir des sacs de graisse se foutre sur la gueule.