Ça disait tout, le rock. La souffrance et l’isolement. La misère et la révolte. La profondeur et la simplicité. Ça montrait le chemin, ça aidait à y voir clair. Toute la journée, par exemple, il l’avait passée avec les Yardbirds. Efficacité. Musicalité. Nostalgie. Et surtout les solos d’Eric Clapton, qui y gagnerait par la suite, en raison de la virtuosité de son jeu de main sur le manche, le surnom de Slowhand. La branlette.