“Dans le désert, le vent est contingent, il ne se contente pas de modeler le paysage, il est dans le paysage. Le Sahara n’est pas seulement un musée à ciel ouvert mais, définitivement, l’atelier même de l’artiste. Tout est dynamique et circulation, le vent balaye l’espace à grands coups de matière. L’imprévisible engendre l’improbabilité des structures.”