Mes patients noirs sont parfois insupportables tant ils sont niais, désobéissants, paresseux, exigeants. Alors, la coupe déborde et je ne retrouve la tranquillité, la joie dans mon travail que lorsque j’ai retrouvé la communion avec Dieu. Quand on réfléchit aux influences ténébreuses que ces pauvres populations subissent depuis si longtemps, on ne peut s’étonner de leur misérable état.