Vous avez aussi gardé en mémoire que ce même Jean-Luc Douin avait jugé que l’Etoile des amants de Philippe Sollers était « une manière d’ébranler la métaphysique occidentale » quand il suffisait d’en lire quelques pages pour vérifier que cet effarant navet risquait bien davantage d’ébranler les zygomatiques occidentaux, de provoquer une inextinguible crise de fou rire depuis l’Atlantique jusqu’à l’Oural.