Devant les errements d’une fraction ou plutôt d’une faction de l’art contemporain, à la lecture du plus accablant de l’actuelle production littéraire, comme devant tout ce que le monde moderne nous propose de spectacles grotesques, c’est un rire rabelaisien, libérateur, qu’il nous faut faire entendre jusqu’aux limites de la galaxie, et non pas l’inaudible ricanement houellebecquien, qui est encore manière, et la moins heureuse manière, d’acquiescer à tout et de préférence au pire de tout.