Beaucoup de personnes qui se préoccupent de justice sociale sont en colère, mais on en trouve parfois qui embrassent de justes causes sans sombrer, émotionnellement parlant. À mon avis, ces personnes savent qu’elles sont appelées à perdre leurs combats à long terme, mais elles les mènent quand même. Mon mari est de ceux-là. Il ne désespère jamais, parce que ses espérances sont limitées.