Pour la première fois dans l'histoire, les jeunes femmes sont davantage diplômées que les jeunes hommes. Cet aspect quantitatif doit être cependant nuancé par une baisse généralisée du niveau culturel des diplômes, et surtout par la supériorité des garçons dans les études scientifiques de plus haut niveau, qui, en France, demeurent les filières de l'excellence et du pouvoir.