Il l’embrassa, avec douceur, en frottant sa bouche contre la sienne.
— Tu es forte, tu es de la race des survivants. Je l’ai toujours su.
— Comment le savais-tu ?
Parcourue de frissons, elle prit le visage de Chance entre ses mains, et lui rendit son baiser, en ouvrant sa bouche, son cœur.
— Moi-même, je ne le savais pas, dit-elle. Et je ne le sais toujours pas.
— Pardonne-moi, mon amour, murmura-t-il en glissant les mains sous son pull pour lui caresser le dos. Pardonne-moi.