L’inconscient doit être saisi dans le sens fondamental du terme, c’est-à-dire ni par une perception sensorielle ni même par une perception plus globale d’ordre sentimental, mais par la perception primordiale qui est celle de l’état d’ « innocence édénique » qui précède le moment où la conscience s’éveille et se sépare de la Nature soi-disant chaotique.