Je lève les mains en l’air en signe de reddition et recule d’un pas. Je fais demi-tour et m’apprête à regagner la plage mais je m’arrête presque aussitôt avant de me retourner vers elle. Ses beaux yeux sont toujours sur moi et, dans un sourire, je déclare « J’aime tes épines, Rose, mais un jour tu me laisseras te cueillir ». L’été ne sera peut-être pas si ennuyeux, après tout.