Chaque jour fait écho au précédent, je répète encore et toujours les mêmes gestes, les mêmes actions et chaque mouvement vide un peu plus mes poumons de l’air dont j’ai tant besoin. Je suis en train de mourir à Lège-Cap-Ferret, et moi, je ne veux pas crever. J’ai bien trop de choses à voir, bien trop de choses à vivre.