Les mains ne sont jamais de simples détails, mais des nœuds sur les lesquels se relance l'énergie du tableau. J'aime à penser que s'il n'y avait eu cette main accrochant un invisible fardeau, nous n'aurions eu affaire qu'à un énième portrait du poète, oblitérant alors la prégnance du voyage et de l'errance que celui-ci incarnait.
Yves Simon P50