Que doit -on éprouver quand on voit le monde autour de soi perdre ses contours , tout ce réseau de langue ,de mémoire du langage , tendu si imperceptiblement sur les choses qu'on ne le remarque que lorsqu'il se troue ? Est - ce qu'alors tout devient flou , ou au contraire de plus en plus net à mesure que se renforce l'indicible ?