Bien sûr, elle méprisait toujours autant le maquillage. Et en même temps, Enoch, dans sa manière d’appliquer les fards, avait quelque chose d’un magicien, d’un sorcier opérant une métamorphose. Il n’était plus seulement l’irritant coq, dont la compagnie lui pesait depuis leur nuit dans la forêt. Il montrait un nouvel aspect de lui-même, plus étrange et presque fascinant.