"Le souvenir de 1940 nous hante, nous tyrannise, nous tétanise [...]. Le travail, la famille et la patrie sont d'impérieux tabous. La droite n'ose pas se situer à droite. Le goût de l'ordre est forcément fasciste, l'amour de la patrie pétainiste, les privilèges accordés aux citoyens français intolérable discrimination raciale, les charters d'étrangers clandestins des trains de déportés."