Tant l’être humain est limité : il acquiert d’un côté, il perd ponctuellement de l’autre et, à cela, il semble qu’il n’y ait pas de remède. Qu’on pense, en dernier ressort, aux incroyables boîtes pour la nidification des étourneaux installées sur les baraquements d’Auschwitz, par les bourreaux qui avaient le coeur tendre pour les oiseaux. p78