La colonne ralentit graduellement et se condensa de plus en plus jusqu'à déborder sur les côtés enneigés de la piste. Les haltes commencèrent, et les mouvements par à-coups. Le froid se faisait plus sauvagement sentir, chaque homme tâchait de s'enfermer en lui-même, il se pliait, baissait la tête comme pour retenir sa propre chaleur. p 281