« Je pense que les adultes s’érodent avec le temps, à l’image des rochers attaqués par la mer, tout en restant pareils, juste plus lents et grisonnants, avec ces drôles de lignes verticales devant les oreilles. Les jeunes, eux, se transforment de semaine en semaine. Nous connaître, c’est courir à côté de nous, comme quand on veut héler un passager par la fenêtre d’un train en marche. »